Citation :
" A tous ceux qui ont déjà léché la cuillère..."
Résumé :
Izzy est une fée de la pâtisserie. Elle a passé son enfance dans la boulangerie de son grand-père, et a indéniablement hérité de son talent. Chaque semaine, ses collègues du bureau se régalent de ces cupcakes colorés et autres brownies ultrafonfants...
Lorsqu'elle se fait licencier par son futur ex-petit-ami, Izzy sent grandir en elle une idée folle : et si elle ouvrait son propre cupcake café ? Le projet est un peu risqué, le chemin semé d'embûches, mais lorsqu'elle découvre un magasin à louer dans une ruelle pavée, elle se lance dans l'aventure, et dans une nouvelle vie !
Pourquoi ce livre ?
Parce que c'est un feel good books.
Après un arbre centenaire au milieu d'une place d'un village, une librairie, une boulangerie, place un cupcake café qui se trouve dans une ruelle.
A REGARDER
- la série " Santa Barbara "
- le film " Fame "
- la série " Papa Schultz "
A SAVOURER
- les différents cupcakes
- des Bounty
- une pâtisserie chez " Pâtisserie Valérie " à Londres
A DECOUVRIR
- le parfum " Agent Provocateur "
A ECOUTER
- Jay-Z
- Corinne Bailey Rae
- Someday
- Owl City
A VISITER
- Edimbourg
- la ruelle Pear Tree Court à Londres
Extraits :
" Niché tout au fond de l'impasse, un bâtiment faisait penser à un ajout après coup, comme pour écouler l'exédent de pierres. Sa façade se terminait d'un côté en un triangle de verre et une porte ouvrait sur une petite cour pavée où poussait un arbre. Cette boutique ne semblait pas à sa place, tel un petit havre de paix au milieu d'une place de village ; quelque chose d'absolument hors du temps. Elle rappelait à Izzy, comme elle s'était un jour fait la réflexion, une illustration de Beatrix Potter. Il manquait uniquement les vitres colorées en cl de bouteille. " p.23
" Elle comprit aussitôt que si le 4, Pear Tree Court présentait toutes sortes de problèmes (l'absence de devanture sur la route étant le plus évident), il avait aussi beaucoup d'avantages. La grande vitrine donnait sur l'ouest, aussi la boutique était-elle inondée de soleil l'après-midi : c'était de fait un endroit agréable où s'asseoir et s'attarder autour d'un café et d'un gâteau à une heure où les affaires étaient généralement plus calme. Izzy lutta pour ne pas laisser son imagination s'emballer. La ruelle était charmante avec ses pavés, en dépit des ordures qui traînaient et d'une carcasse de vélo abandonnée. A côté de la quincaillerie, poussait un poirier chétif et rabougri, qui donnait son nom à cette impasse. Un arbre - réel, vivant. Cela ausssi, c'était quelque chose. Dans la cour, le bruit de la circulation semblait disparaître , comme si l'on se retirait dans une époque plus calme et plus douce. La petite rangée de boutiques, pèle-mèle, agglutinées les unes contre les autres, semblait sortie de Harry potter, et le numéro 4, avec sa porte en bois, ses angles biscornus et son ancienne cheminée, était la plus jolie d'entre toutes." p.95